Aujourd'hui on se retrouve pour la saison 3 de La Casa de Papel :
J'avais absolument adoré les saisons précédentes et ne voulait pas de cette suite.
Mais j'ai quand même souhaité la regarder, par curiosité.
Je dois admettre que ça faisait du bien de revoir tous ces personnages que j'adorais !
Tous sauf Tokyo, bien évidemment. J'ai retrouvé en celle-ci tout ce que je lui reprochai dès le premier épisode. C'est TOUJOURS elle qui mets les autres dans les pires situations ! C'est pas possible ! Vraiment, je ne peux pas me la voir et le pire c'est qu'elle reste toujours vivante comparé à d'autres personnages. Mais on y reviendra plus tard.
Heureusement qu'il reste donc mes personnages favoris : le Professeur et Raquel que j'adorais voir ensemble à vadrouiller dans leur camping-car, Denver, Monica et Nairobi. Surtout cette dernière.
Dans cette saison, je l'ai adoré encore plus que précédemment, c'est dire. Ainsi, sa fin m'a vraiment désespéré. Limite, ça m'a fait regretté d'avoir voulu continuer cette série, mais bon, j'ai quand même envie de voir la suite, la fin de ce casse qui s'annonce assez mal partie.
Il est encore plus fou que le précédent par certains moments, ce que j'adore, mais ils y sont bien moins préparé -ce plan ne venant pas de Sergio mais de Andres- et la police ne se laisse plus avoir.
Elle est devenu grâce surtout à cette fameuse inspectrice enceinte, un véritable problème pour notre équipe alors que dans les saisons précédentes, elle apparaissait assez facilement gérable et maîtrisable. Ça en devient donc plus compliqué.
Du coup, leur casse est entrecoupé, comme précédemment, de flashbacks où l'on peut retrouver, avec un certain plaisir, Berlin.
Mais c'était dommage qu'on ne retrouve pas de flashbacks plus concentré sur les nouveaux personnages qui sont au final assez peu exploité hormis Palerme, ou même sur, tout simplement, des personnages autres que Le Professeur, Berlin et Palerme.
Aussi, certains sujets venaient parfois un peu trop comme un cheveux sur la soupe.
Les discussions sur le rôle des femmes pouvaient encore aller, mais celle sur le véganisme ou l'anti maltraitance animale, était bien entendu très honorable, mais bien trop mal amenée.
Mais j'aime la tournure que prend encore plus la série avec la fin qu'il nous propose. Elle dénonce le gouvernement, la torture et veulent ainsi faire encore plus dérailler le système pour mon plus grand plaisir.
Alors d'un certain côté les revendications précédemments cités y trouvent leur place.
Au final, malgré une fin déchirante et toute en émotions, un retour à la fois différent et semblable, ces 8 épisodes ne me suffisent pas : il faut que je sache la fin de ce braquage. Même si je dois en avoir des remords par la suite.
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