Aujourd'hui on se retrouve pour le livre Sorcery of Thorns :
Tout d'abord, il est à noter que ce roman n'est pas une romance. L'histoire d'amour est très à côté, on est beaucoup plus focalisé sur l'aventure et l'intrigue générale; et ce n'est pas non plus totalement un one-shot : l'histoire se suffit à elle-même, mais il existe un tome 1.5 que je me réserve pour un peu plus tard.
En tout cas, j'ai beaucoup aimé cette histoire et découvrir cet univers. J'ai vraiment adoré ce concept de grimoire vivants, de magie provenant d'une autre dimension/monde et toute cette ambiance remplis de secrets, de complots et de contradictions.
Tous ces dilemmes et oppositions au sein de cette histoire étaient intéressants et lui donnaient de la profondeur :
Ne pas utiliser la magie selon son code d'honneur ou laisser le monde à sa destruction, tuer un dangereux Malefict mais perdre à jamais le savoir qu'il détenait, choisir de pactiser avec le démon qui a tué son père…
Doublé parfois d'une certaine hypocrisie : condamner les actes des sorciers, mais conserver leur grimoire pour les connaissances détenues.
De plus, j'ai également beaucoup aimé l'héroïne, Elisabeth. Sa volonté est impressionnante, j'ai bien aimé sa curiosité et la combinaison détermination + naïveté m'a rappelé Wonder Woman, personnage que j'adore.
Nathaniel, par contre, n'est pas trop mis en valeur et n'est ainsi jamais aussi intéressant que ces deux compères.
Au moins, leur relation à tous les trois évolue peu à peu de manière très satisfaisante, tout comme celle d'Élisabeth qui trouve sa voie, et Silas qui s'humanise chaque fois un peu plus.
Toutefois, même si j'ai beaucoup aimé là aussi la plume de l'autrice, c'était peut-être même un peu trop bien écrit. L'écriture était vraiment très belle, tout était très bien formulé, les descriptions m'immergeaient complètement, mais c'était pour le meilleur et pour le pire : lire Sorcery of Thorns le soir avant de se coucher permet de ne pas attendre bien longtemps le sommeil.
En conclusion, vous l'aurez compris : j'ai beaucoup aimé !
D'autant plus que le final était génial, touchant, émouvant, avec de l'enjeu et des prises de conscience. Un quasi sans fautes.
http://dlvr.it/Sz7zs5
Aujourd'hui on se retrouve pour le livre Sorcery of Thorns : Tout d'abord, il est à noter que ce roman n'est pas une romance. L'histoire d'amour est très à côté, on est beaucoup plus focalisé sur l'aventure et l'intrigue générale; et ce n'est pas non plus totalement un one-shot : l'histoire se suffit à elle-même, mais il existe un tome 1.5 que je me réserve pour un peu plus tard. En tout cas, j'ai beaucoup aimé cette histoire et découvrir cet univers. J'ai vraiment adoré ce concept de grimoire vivants, de magie provenant d'une autre dimension/monde et toute cette ambiance remplis de secrets, de complots et de contradictions. Tous ces dilemmes et oppositions au sein de cette histoire étaient intéressants et lui donnaient de la profondeur : Ne pas utiliser la magie selon son code d'honneur ou laisser le monde à sa destruction, tuer un dangereux Malefict mais perdre à jamais le savoir qu'il détenait, choisir de pactiser avec le démon qui a tué son père… Doublé parfois d'une certaine hypocrisie : condamner les actes des sorciers, mais conserver leur grimoire pour les connaissances détenues. De plus, j'ai également beaucoup aimé l'héroïne, Elisabeth. Sa volonté est impressionnante, j'ai bien aimé sa curiosité et la combinaison détermination + naïveté m'a rappelé Wonder Woman, personnage que j'adore. Nathaniel, par contre, n'est pas trop mis en valeur et n'est ainsi jamais aussi intéressant que ces deux compères. Au moins, leur relation à tous les trois évolue peu à peu de manière très satisfaisante, tout comme celle d'Élisabeth qui trouve sa voie, et Silas qui s'humanise chaque fois un peu plus. Toutefois, même si j'ai beaucoup aimé là aussi la plume de l'autrice, c'était peut-être même un peu trop bien écrit. L'écriture était vraiment très belle, tout était très bien formulé, les descriptions m'immergeaient complètement, mais c'était pour le meilleur et pour le pire : lire Sorcery of Thorns le soir avant de se coucher permet de ne pas attendre bien longtemps le sommeil. En conclusion, vous l'aurez compris : j'ai beaucoup aimé ! D'autant plus que le final était génial, touchant, émouvant, avec de l'enjeu et des prises de conscience. Un quasi sans fautes.
mardi 21 novembre 2023
Aujourd'hui on se retrouve pour le film Les figures de l'ombre : Biopic sur 3 femmes afro-américaines travaillant à la NASA dans les années 60, on suit Dorothy Vaughn, superviseuse, Mary Jackson, ingénieure, et Katherine Johnson, mathématicienne incarnée par Taraji P.Henson, que j'avais adoré dans la série Empire en tant que Cookie Lyon. Il fait désormais partie des rares films que j'ai vu plusieurs fois. Tout d'abord conseillé par un de mes profs d'informatique quand j'étais en licence, je l'ai alors vu avec mon père à l'occasion de mon Marathon 1 film par jour 9e édition, la spéciale confinement. Puis une nouvelle fois, cette fois-ci tout récemment dans le cadre de la journée Ada Lovelace, célébrée les 2e mardi du mois d'octobre, organisée par ma fac. Je l'avais déjà adoré la première fois et ce second visionnage n'a fait que confirmer à quel point ce film est complet et bien réalisé. Il traite de nombreux sujets : la place des femmes dans les sciences, bien sûr, mais aussi la course à l'espace entre la Russie et les États-Unis, la ségrégation et l'arrivé de l'informatique avec le langage Fortran, montrant de part la reconversion des calculatrices, que certes l'informatique remplace certains métiers, mais en crée aussi de nouveaux. De plus, le film est agrémenté de quelques images d'archives et certaines scènes se font écho comme celle où on tend une craie à Katherine et qu'elle va au tableau étonner son public, ou quand ils courent d'un point à un autre. Aussi, lors de mon premier visionnage, les musiques d'Hans Zimmer et Pharrell Williams ne m'avaient pas marqué, mais lors du second, j'ai finalement trouvé qu'elles jouaient bien leur rôle, apportant de la dynamique ou de l'intensité selon le moment. En conclusion, Les figures de l'ombre est un très bon film, inspirant, qu'on devrait montrer au plus grand nombre et au plus jeune âge afin d'éduquer les moeurs sur la place de la femme dans les sciences. Et vous mes Kriticoeurs, qu'en pensez-vous ?
lundi 13 novembre 2023
Aujourd'hui on se retrouve pour le film Les figures de l'ombre :
Biopic sur 3 femmes afro-américaines travaillant à la NASA dans les années 60, on suit Dorothy Vaughn, superviseuse, Mary Jackson, ingénieure, et Katherine Johnson, mathématicienne incarnée par Taraji P.Henson, que j'avais adoré dans la série Empire en tant que Cookie Lyon.
Il fait désormais partie des rares films que j'ai vu plusieurs fois.
Tout d'abord conseillé par un de mes profs d'informatique quand j'étais en licence, je l'ai alors vu avec mon père à l'occasion de mon Marathon 1 film par jour 9e édition, la spéciale confinement.
Puis une nouvelle fois, cette fois-ci tout récemment dans le cadre de la journée Ada Lovelace, célébrée les 2e mardi du mois d'octobre, organisée par ma fac.
Je l'avais déjà adoré la première fois et ce second visionnage n'a fait que confirmer à quel point ce film est complet et bien réalisé.
Il traite de nombreux sujets : la place des femmes dans les sciences, bien sûr, mais aussi la course à l'espace entre la Russie et les États-Unis, la ségrégation et l'arrivé de l'informatique avec le langage Fortran, montrant de part la reconversion des calculatrices, que certes l'informatique remplace certains métiers, mais en crée aussi de nouveaux.
De plus, le film est agrémenté de quelques images d'archives et certaines scènes se font écho comme celle où on tend une craie à Katherine et qu'elle va au tableau étonner son public, ou quand ils courent d'un point à un autre.
Aussi, lors de mon premier visionnage, les musiques d'Hans Zimmer et Pharrell Williams ne m'avaient pas marqué, mais lors du second, j'ai finalement trouvé qu'elles jouaient bien leur rôle, apportant de la dynamique ou de l'intensité selon le moment.
En conclusion, Les figures de l'ombre est un très bon film, inspirant, qu'on devrait montrer au plus grand nombre et au plus jeune âge afin d'éduquer les moeurs sur la place de la femme dans les sciences.
Et vous mes Kriticoeurs, qu'en pensez-vous ?
http://dlvr.it/Synbcd
Biopic sur 3 femmes afro-américaines travaillant à la NASA dans les années 60, on suit Dorothy Vaughn, superviseuse, Mary Jackson, ingénieure, et Katherine Johnson, mathématicienne incarnée par Taraji P.Henson, que j'avais adoré dans la série Empire en tant que Cookie Lyon.
Il fait désormais partie des rares films que j'ai vu plusieurs fois.
Tout d'abord conseillé par un de mes profs d'informatique quand j'étais en licence, je l'ai alors vu avec mon père à l'occasion de mon Marathon 1 film par jour 9e édition, la spéciale confinement.
Puis une nouvelle fois, cette fois-ci tout récemment dans le cadre de la journée Ada Lovelace, célébrée les 2e mardi du mois d'octobre, organisée par ma fac.
Je l'avais déjà adoré la première fois et ce second visionnage n'a fait que confirmer à quel point ce film est complet et bien réalisé.
Il traite de nombreux sujets : la place des femmes dans les sciences, bien sûr, mais aussi la course à l'espace entre la Russie et les États-Unis, la ségrégation et l'arrivé de l'informatique avec le langage Fortran, montrant de part la reconversion des calculatrices, que certes l'informatique remplace certains métiers, mais en crée aussi de nouveaux.
De plus, le film est agrémenté de quelques images d'archives et certaines scènes se font écho comme celle où on tend une craie à Katherine et qu'elle va au tableau étonner son public, ou quand ils courent d'un point à un autre.
Aussi, lors de mon premier visionnage, les musiques d'Hans Zimmer et Pharrell Williams ne m'avaient pas marqué, mais lors du second, j'ai finalement trouvé qu'elles jouaient bien leur rôle, apportant de la dynamique ou de l'intensité selon le moment.
En conclusion, Les figures de l'ombre est un très bon film, inspirant, qu'on devrait montrer au plus grand nombre et au plus jeune âge afin d'éduquer les moeurs sur la place de la femme dans les sciences.
Et vous mes Kriticoeurs, qu'en pensez-vous ?
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