Aujourd'hui on se retrouve pour le film Challengers : Il s’agit d’un film fictif sur le thème du tennis, tout en développant une histoire autour de manipulations et relations amoureuses auquelle l'héroïne, Tashi Duncan, est au centre. C'est d'ailleurs le rôle de Zendaya que j'ai le plus apprécié jusqu'à présent. Plusieurs moments s'entremêlent pour comprendre l'histoire complète, certaines scènes sont assez funs également et je ne m'attendais pas au rythme et à la bande son choisie. Le montage est assez brutal et les musiques, que j'ai beaucoup appréciées, sont très énergiques. J'ai aimé le rendu mais je ne suis pas convaincue que c'était le choix le plus adapté, la musique se sent peut-être trop, elle ne se fond pas forcément dans les scènes. Cependant, les scènes de tennis étaient très bien menées, passionnantes, voire même épiques. La fin était intense. J'ai beaucoup aimé cette troisième et dernière manche du match de tennis, tous ces beaux plans, ces idées très novatrices de mises en scène et cette tension qui prend son temps. Toutefois, j'ai moins aimé la fin ouverte : je ne sais pas vraiment comment l'interpréter. En tout cas, j'ai bien aimé ma séance au cinéma, c'était sympa et j'en garde un bon souvenir. Et vous mes Kriticoeurs, qu'en avez-vous pensé ?

mercredi 11 septembre 2024

Aujourd'hui on se retrouve pour le film Challengers :

Il s’agit d’un film fictif sur le thème du tennis, tout en développant une histoire autour de manipulations et relations amoureuses auquelle l'héroïne, Tashi Duncan, est au centre. C'est d'ailleurs le rôle de Zendaya que j'ai le plus apprécié jusqu'à présent.
Plusieurs moments s'entremêlent pour comprendre l'histoire complète, certaines scènes sont assez funs également et je ne m'attendais pas au rythme et à la bande son choisie. Le montage est assez brutal et les musiques, que j'ai beaucoup appréciées, sont très énergiques. J'ai aimé le rendu mais je ne suis pas convaincue que c'était le choix le plus adapté, la musique se sent peut-être trop, elle ne se fond pas forcément dans les scènes.
Cependant, les scènes de tennis étaient très bien menées, passionnantes, voire même épiques.
La fin était intense. J'ai beaucoup aimé cette troisième et dernière manche du match de tennis, tous ces beaux plans, ces idées très novatrices de mises en scène et cette tension qui prend son temps.
Toutefois, j'ai moins aimé la fin ouverte : je ne sais pas vraiment comment l'interpréter.

En tout cas, j'ai bien aimé ma séance au cinéma, c'était sympa et j'en garde un bon souvenir.
Et vous mes Kriticoeurs, qu'en avez-vous pensé ?


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Aujourd'hui on se retrouve pour Deadpool : les origines, le tome 1 de la collection Carrefour x Panini : Autant j'ai beaucoup aimé la 1ère histoire, autant j'ai eu beaucoup plus de mal avec les 2 autres. Certes les graphismes étaient plus jolis par la suite, mais alors que la 1ère histoire, Les péchés du passé (Deadpool (1994) #1-4), est complète, les 2 autres ne sont que des morceaux, ce qui me frustre énormément. Ainsi, même si j'ai eu un peu de mal avec les graphismes de la série de 1994, l'histoire m'a beaucoup plu, avec son côté un peu histoire de famille, les différents personnages croisés comme le Hurleur, le Fléau et Cyrène, les liens entre eux, l'humour de Deadpool et le duo Cyrène/Deadpool, je les aimais bien ensemble ! Toutefois, j'ai bien moins accroché à la 2e histoire, composée de "Deadpool en ligne" et "Opération : sauvez la fouine". Même s'il y a écrit un "fin" sur la dernière page, l'histoire n'est absolument pas terminée, que ce soit par rapport à L, L & L et à Cyrène. C'est seulement le début de la série Deadpool de 1997, qui continue avec d'autres numéros dont le 12 et le 13, Un homme à la mer partie 1 et partie 2, qui constitue la 3e histoire de ce tome. Le problème c'est qu'il s'est passé des choses entre les 2 histoires, que l'on doit deviner, et qu'elle continue également ensuite ! L'histoire ne se finit pas vraiment, ce qui m'agace. Aussi, je n'ai pas compris pourquoi il y a tout un passage en allemand non traduit qui n'a même pas l'air de vraiment servir. De plus, la relation entre Cyrène et Deadpool est ici frustrante. Au moins, cette partie montre bien la déchéance de Deadpool. Heureusement, la dernière petite histoire, Les voix dans ma tête (Deadpool annual 2014 1), sauve ce recueil de comics, je l'ai beaucoup aimé. Je ne connaissais pas Mad Cap mais il forme un bon duo avec Deadpool. J'ai bien aimé la structure du récit qui constitue une petite boucle bouclée et j'ai apprécié les apparitions de Thor, Luke Cage et Daredevil. En conclusion, je suis mitigée sur ce tome. Autant j'ai aimé la première et la dernière histoire, autant j'ai eu beaucoup plus de mal avec Deadpool 1997, en partie à cause du manque de continuité.

lundi 2 septembre 2024

Aujourd'hui on se retrouve pour Deadpool : les origines, le tome 1 de la collection Carrefour x Panini :

Autant j'ai beaucoup aimé la 1ère histoire, autant j'ai eu beaucoup plus de mal avec les 2 autres. Certes les graphismes étaient plus jolis par la suite, mais alors que la 1ère histoire, Les péchés du passé (Deadpool (1994) #1-4), est complète, les 2 autres ne sont que des morceaux, ce qui me frustre énormément.

Ainsi, même si j'ai eu un peu de mal avec les graphismes de la série de 1994, l'histoire m'a beaucoup plu, avec son côté un peu histoire de famille, les différents personnages croisés comme le Hurleur, le Fléau et Cyrène, les liens entre eux, l'humour de Deadpool et le duo Cyrène/Deadpool, je les aimais bien ensemble !

Toutefois, j'ai bien moins accroché à la 2e histoire, composée de "Deadpool en ligne" et "Opération : sauvez la fouine". Même s'il y a écrit un "fin" sur la dernière page, l'histoire n'est absolument pas terminée, que ce soit par rapport à L, L & L et à Cyrène. C'est seulement le début de la série Deadpool de 1997, qui continue avec d'autres numéros dont le 12 et le 13, Un homme à la mer partie 1 et partie 2, qui constitue la 3e histoire de ce tome.

Le problème c'est qu'il s'est passé des choses entre les 2 histoires, que l'on doit deviner, et qu'elle continue également ensuite ! L'histoire ne se finit pas vraiment, ce qui m'agace.
Aussi, je n'ai pas compris pourquoi il y a tout un passage en allemand non traduit qui n'a même pas l'air de vraiment servir.
De plus, la relation entre Cyrène et Deadpool est ici frustrante.
Au moins, cette partie montre bien la déchéance de Deadpool.

Heureusement, la dernière petite histoire, Les voix dans ma tête (Deadpool annual 2014 1), sauve ce recueil de comics, je l'ai beaucoup aimé. Je ne connaissais pas Mad Cap mais il forme un bon duo avec Deadpool. J'ai bien aimé la structure du récit qui constitue une petite boucle bouclée et j'ai apprécié les apparitions de Thor, Luke Cage et Daredevil.

En conclusion, je suis mitigée sur ce tome. Autant j'ai aimé la première et la dernière histoire, autant j'ai eu beaucoup plus de mal avec Deadpool 1997, en partie à cause du manque de continuité.


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Aujourd'hui on se retrouve pour la saison 1 et 2 d'Euphoria : Entraînée dedans par une amie fan de l'acteur Jacob Elordi, je ne m'y attendais pas mais j'ai plutôt bien aimé cette série, surtout sa première saison. Toutefois, dans les deux cas, je ne l'ai pas trouvé si exceptionnelle que ça, contrairement à tous les avis élogieux que j'ai pu voir dessus. En fait, je suis très peu fan du personnage principal, Rue, et des intrigues autour de la drogue. Donc c'est assez difficile de vraiment aimer cette série quand on s'intéresse plus aux histoires secondaires que principales. En tout cas, j'ai plus apprécié les intrigues et la dynamique de la saison 1, où chaque épisode était centré sur un personnage. La saison 2 fait plus brouillon, pas mal d'intrigues, de manière globale, auraient gagné à être davantage exploitées. Aussi, la transition entre les deux saisons n'est pas fluide. On comprend notamment peu l'évolution de Nate et de Jules. La série a également d'autres défauts : on comprend également peu les ellipses temporelles, dans quel moment l'action se situe, et les personnages lycéens n'ont ni la tête, ni le comportement de lycéens. Au final, Euphoria reste une série originale, qui ne ressemble à aucune autre et que j'ai quand même apprécié découvrir, notamment parce que j'étais accompagnée et qu'elle est renommée. Je ne suis toutefois pas sûr de regarder la suite, surtout sans mon amie. Et vous mes Kriticoeurs qu'en pensez-vous ?

vendredi 30 août 2024

Aujourd'hui on se retrouve pour la saison 1 et 2 d'Euphoria :

Entraînée dedans par une amie fan de l'acteur Jacob Elordi, je ne m'y attendais pas mais j'ai plutôt bien aimé cette série, surtout sa première saison. Toutefois, dans les deux cas, je ne l'ai pas trouvé si exceptionnelle que ça, contrairement à tous les avis élogieux que j'ai pu voir dessus.
En fait, je suis très peu fan du personnage principal, Rue, et des intrigues autour de la drogue. Donc c'est assez difficile de vraiment aimer cette série quand on s'intéresse plus aux histoires secondaires que principales.
En tout cas, j'ai plus apprécié les intrigues et la dynamique de la saison 1, où chaque épisode était centré sur un personnage. La saison 2 fait plus brouillon, pas mal d'intrigues, de manière globale, auraient gagné à être davantage exploitées.
Aussi, la transition entre les deux saisons n'est pas fluide. On comprend notamment peu l'évolution de Nate et de Jules. La série a également d'autres défauts : on comprend également peu les ellipses temporelles, dans quel moment l'action se situe, et les personnages lycéens n'ont ni la tête, ni le comportement de lycéens.

Au final, Euphoria reste une série originale, qui ne ressemble à aucune autre et que j'ai quand même apprécié découvrir, notamment parce que j'étais accompagnée et qu'elle est renommée.
Je ne suis toutefois pas sûr de regarder la suite, surtout sans mon amie.
Et vous mes Kriticoeurs qu'en pensez-vous ?


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Aujourd'hui on se retrouve pour le tome 1 d'Ultimate Spider-Man : Je vous recommande sans plus attendre de foncer dans votre magasin de journaux le plus proche et céder à la tentation de ce comics à 3.99€ ! Cette édition Hachette est magnifique et ce premier tome d'Ultimate Spider-Man comprend les arcs "Pouvoirs et responsabilités" (1-7) et "Learning Curve" (8-13), ainsi que le chapitre 1/2. La collection Ultimate Spider-Man correspond à un reboot plus moderne de ses aventures dans les années 60. Ici, l'histoire prend plus son temps, développe plus les personnages, les situations. Dans la version originale, son origine story s'effectue en une quinzaine de pages alors qu'ici elle se compte en centaines. Dès la première planche j'ai été séduite : ils y racontent le mythe grec d'Arachné et j'aime beaucoup les graphismes. J'ai aussi bien aimé certains détails comme le numéro du maillot de basket de Peter Parker, 00, qui correspond au numéro de l'araignée qui l'a piqué. Addictif, je l'ai dévoré. Cette histoire est toujours autant déchirante et j'ai l'impression qu'on en a pas encore fini avec le bouffon vert, même si on enchaîne avec le Caïd. D'ailleurs, j'ai été très contente de retrouver dès le 2e arc Electro et Iron Fist dans le chapitre 1/2, ce sont des personnages que j'aime beaucoup et que je ne m'attendais pas à voir si tôt. En tout cas, je vais certainement continuer les Ultimate Spider-Man avec cette collection. Cela a été une très agréable découverte. Et vous mes Kriticoeurs, avez-vous déjà découvert l'univers Ultimate Spider-Man ?

lundi 26 août 2024

Aujourd'hui on se retrouve pour le tome 1 d'Ultimate Spider-Man :

Je vous recommande sans plus attendre de foncer dans votre magasin de journaux le plus proche et céder à la tentation de ce comics à 3.99€ ! Cette édition Hachette est magnifique et ce premier tome d'Ultimate Spider-Man comprend les arcs "Pouvoirs et responsabilités" (1-7) et "Learning Curve" (8-13), ainsi que le chapitre 1/2.
La collection Ultimate Spider-Man correspond à un reboot plus moderne de ses aventures dans les années 60. Ici, l'histoire prend plus son temps, développe plus les personnages, les situations. Dans la version originale, son origine story s'effectue en une quinzaine de pages alors qu'ici elle se compte en centaines.
Dès la première planche j'ai été séduite : ils y racontent le mythe grec d'Arachné et j'aime beaucoup les graphismes.
J'ai aussi bien aimé certains détails comme le numéro du maillot de basket de Peter Parker, 00, qui correspond au numéro de l'araignée qui l'a piqué.
Addictif, je l'ai dévoré. Cette histoire est toujours autant déchirante et j'ai l'impression qu'on en a pas encore fini avec le bouffon vert, même si on enchaîne avec le Caïd.
D'ailleurs, j'ai été très contente de retrouver dès le 2e arc Electro et Iron Fist dans le chapitre 1/2, ce sont des personnages que j'aime beaucoup et que je ne m'attendais pas à voir si tôt.

En tout cas, je vais certainement continuer les Ultimate Spider-Man avec cette collection. Cela a été une très agréable découverte.
Et vous mes Kriticoeurs, avez-vous déjà découvert l'univers Ultimate Spider-Man ?


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Aujourd'hui on se retrouve pour le film M3gan : Modèle 3 Génératif Androïde est un film d'horreur modéré. Il y a seulement des scènes un peu stressantes et/ou sanglantes, mais rien de terrifiant. Regardé sur Netflix avec mes parents un peu sur un coup de tête, je ne le connaissais pas du tout, mais j'ai beaucoup aimé. J'ai surtout voulu le regarder puisqu'il traite de l'intelligence artificielle, aka mon domaine d'expertise, et le thème était finalement bien traité, ils font le tour du sujet. J'avais l'impression que les personnes derrière ce film s'y connaissaient eux-aussi ou ont au moins effectué des recherches sur le sujet. D'autant plus que ce concept de jouet intégrant de l'ia existe déjà, même si pas encore démocratisé. Le film traite ainsi des dérives de la technologie, notamment sur les enfants, mais aussi de l'aide qu'ils peuvent apporter. Aussi, j'ai apprécié le fait que ce soit une femme qui soit le génie de la robotique et de l'informatique qui crée M3gan. Cela permet une meilleure représentation. En conclusion, il y avait un bon rythme, c'était très sympa et intelligent, une bonne surprise. Il manque toutefois d'une véritable conclusion, ce qui est un peu dommage et frustrant, mais il paraît qu'une suite va sortir en mai 2025 nommée M3gan 2.0. Je la regarderai sans doute. Et vous, mes Kriticoeurs, qu’en pensez-vous ?

lundi 12 août 2024

Aujourd'hui on se retrouve pour le film M3gan :

Modèle 3 Génératif Androïde est un film d'horreur modéré. Il y a seulement des scènes un peu stressantes et/ou sanglantes, mais rien de terrifiant.

Regardé sur Netflix avec mes parents un peu sur un coup de tête, je ne le connaissais pas du tout, mais j'ai beaucoup aimé. J'ai surtout voulu le regarder puisqu'il traite de l'intelligence artificielle, aka mon domaine d'expertise, et le thème était finalement bien traité, ils font le tour du sujet. J'avais l'impression que les personnes derrière ce film s'y connaissaient eux-aussi ou ont au moins effectué des recherches sur le sujet.
D'autant plus que ce concept de jouet intégrant de l'ia existe déjà, même si pas encore démocratisé. Le film traite ainsi des dérives de la technologie, notamment sur les enfants, mais aussi de l'aide qu'ils peuvent apporter.
Aussi, j'ai apprécié le fait que ce soit une femme qui soit le génie de la robotique et de l'informatique qui crée M3gan. Cela permet une meilleure représentation.

En conclusion, il y avait un bon rythme, c'était très sympa et intelligent, une bonne surprise. Il manque toutefois d'une véritable conclusion, ce qui est un peu dommage et frustrant, mais il paraît qu'une suite va sortir en mai 2025 nommée M3gan 2.0. Je la regarderai sans doute.
Et vous, mes Kriticoeurs, qu’en pensez-vous ?


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